Marianne

Le réseau social de Marianne
Localisation : PARIS CEDEX 10, France (metropolitaine)
Jeudi 9 Mai 2013
Que célébrait-on aujourd'hui ? Le détournement par "les 1%" les plus riches de notre rêve européen, celui de Victor Hugo ? En ce 9 mai 2013, que dire:

- d'une Union politique qui banalise la tromperie, comme lorsqu'elle parle de "solidarité avec la Grèce et le Portugal", alors qu'il s'agit de "solidarité avec les créanciers internationaux de la Grèce et du Portugal" ?

- d'une Union politique qui oblige des dirigeants locaux, (ignorants, pusillanimes, ou corrompus, peu importe ici), à choisir la baisse de l'espérance de vie d'une partie de leur population pour "protéger les intérêts", (à plus d'un sens du terme...), de banques privées et de fonds de pension ? (en UE et HORS UE) ?

- d'une Union politique qui a étendu à 400 millions d'européens la perte de souveraineté que constitue une Banque Centrale au statut directement inspiré de celui de la Bundesbank ? C. à d. un statut qui fut rédigé au siècle dernier, dans un pays vaincu et occupé, et au sein duquel, pour des raisons historiques oubliées, les vainqueurs ont disposé un maximum d'obstacles entre pouvoir politique et pouvoir monétaire ? (C à d. que le statut de la BCE est celui de la BC d'un pays non souverain ?)

- d'une Union politique qui, privée du pouvoir régalien de création monétaire, (celui du "Prêteur en dernier ressort", agissant au nom d'une collectivité nationale), a livré les malheureux pays déficitaires au pillage des créanciers, à la "vente à la découpe", tandis que, comme sous la dictature, l'espérance de vie baisse au Portugal et en Grèce ? (Sans oublier que... les "admirables excédents" commerciaux du Nord, ne pourraient exister sans les "vilains déficits", du Sud).

- d'une Union politique qui ignore, ou feint d'ignorer que, lorsqu'elle fait supporter à "99 % de débiteurs malgré eux"... la protection des intérêts de "1%" de créanciers parfaitement conscients des risques qu'ils ont pris en connaissance de cause... elle agit dans un sens contraire aux droits humains ?

Mérite-t-elle autre chose que du dégoût et du mépris ?
-----------------------------------------------------------------
L'UE de Lisbonne est une union politique qui rend obligatoire une dépense improductive ! Le financement de la dette publique sur les marchés internationaux revient à faire de la "redistribution à l'envers": de tous vers les plus riches, en UE et hors UE ! Cette union monétaire est monstrueuse: il faut la réformer ou la démolir !
Pour fixer les idées, sur un stock de dettes de ~7000 Milliards, les 17 pays de l'Eurozone qui n'ont pas accès aux prêts à 1% de la BCE, supportent une dépense inutile à hauteur de ~2 à 3% /an. Ce surcoût représente une somme colossale: plus de 2 fois le budget de l'UE, c à d. plus de 2000 Milliards en 10 ans ! (un an de PIB français: Qui dit mieux ?!)

L'UE de Lisbonne est devenue un territoire de "libre prédation", un paradis pour le "CDDF", c à d. le Capitalisme de Déréglementation à Dominante Financière... dont les Grecs, les Portugais et les Irlandais peuvent apprécier toute la sauvagerie: Libre échange et libre circulation des capitaux rendent obligatoires pillage et perversité (sauf à être moins "performant"... que le fonds vautour d'à coté).
La recherche effrénée du "profit à 2 chiffres" se conjugue avec la démolition du droit du travail et des services publics de répression des fraudes: sous la pression de leurs actionnaires, (notamment les Hedge funds), les managers sont guidés vers les "solutions modernes" que sont le rétablissement de l'esclavage, (qui assure un partage "vraiment optimal" entre salaires et... profits !), et la tromperie universelle (qu'il s'agisse de forfaits de téléphone mobile, de médocs, ou de viande de cheval).

Non le 9 mai ne sera pas jour de fête, du moins tant que les défauts congénitaux de la "monnaie inique", (c. à d. une monnaie unique sans solidarité entre ceux qui la partagent), ne seront pas corrigés !
Voir aussi tinyurl.com/raz2013
Dimanche 24 Février 2013
22:21 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article Fifi brin d’acier ? Ou Courage Fillon… ?
Masquer
Il n'y a, hélas, pas assez de différences entre les dirigeants de nos 2 "partis de gouvernement"! Ils sont d'accord sur un élément qui sur-détermine tous les autres:
Eviter à tout prix de reconnaître l'erreur que constitue leur soutien au Traité de Lisbonne, au Pacte Budgétaire, et à cette UE de cauchemar... dominée par la droite allemande !

Le Traité de Lisbonne est le résultat d'une série de compromis franco-allemands catastrophiques, (par ex: statut de la BCE = statut de la Bundesbank).
Il garantit la libre circulation des capitaux, y compris avec les pays HORS UE (Art. 63), ainsi que la liberté d'établissement (Art. 49), sans oublier le libre échange, bien entendu.
Le résultat de ces "libertés pour banques et multinationales"... est d'avoir rendu obligatoires la prédation et la perversité: en dehors de l'économie sociale et solidaire (~10% du PIB), un dirigeant de banque ou de multinationale qui ne se livre pas aux pillages qui sont à sa portée, compromet sa situation et ne tarde pas à se faire virer par ses actionnaires insatiables ! (Notamment, les fonds de pension: une autre raison de défendre nos systèmes de retraite par répartition, beaucoup plus surs, car moins vulnérables à... la "Finance casino" !)

- Le culte de la compétitivité est une autre conséquence des choix idéologiques que le Traité impose: dans les territoires de "libre prédation", dans les "paradis pour fonds vautour"... que sont devenus nos pays européens, le seul moyen de ne pas se faire bouffer par un hedge fund, c'est la recherche incessante de la compétitivité !

Or, toujours pour la même raison, (c à d. l'exigence et le pouvoir des actionnaires), les seuls coûts sur lesquels les dirigeants peuvent rogner sont les couts salariaux !
Pourtant, l'argent distribué aux actionnaires et aux banques sous forme de dividendes, d'interêts des emprunts ou d'obligations, et même... de rachat d'actions, constitue dans notre pays, une masse de plus de 150 milliards / an, supérieure aux cotisations sociales ! cf.
http://www.france24.com/fr/20121109-competitivite-rapport-copernic-attac-cout-travail-capital-dividende-gallois-pacte-ayrault-critiques

En outre, alors que le "coût du travail" correspond en réalité aux revenus de millions de gens, (professions de santé et retraités), le "coût du capital", (c à d. des revenus qui cotisent peu et paient moins d'impots), ne fait vivre qu'une minorité de privilégiés !

On peut résumer comme suit les "effets non désirés", (en tout cas non désirables), de la construction européenne, ou plutôt de la... "malédiction européenne"... que sont devenus les compromis franco-allemands successifs, (en particulier, celui de 1991 qui a ouvert la voie au Traité de Maastricht):

L'UE de Lisbonne et la stratégie du même nom, ont rendu obligatoire un système économique, le "capitalisme de déreglementation à dominante financière", dont les règles, (ou plutot, l'absence de règles), produisent aberrations et monstruosistés qui foulent aux pieds les droits humains, (notamment la satisfaction de besoins fondamentaux).

- imposer à des dirigeants locaux, (ignorants ou corrompus, peu importe ici), de choisir la baisse l'espérance de vie de leur population, pour "protéger les intérêts", (à plus d'un sens du terme !), de créanciers internationaux et de banques européennes "pachydermiques", c. à d. "de banques trop grosses pour faire faillite"... (sachant que la réforme Mosco n'y changera rien, Hélas !)

- Orienter le partage de la valeur ajoutée vers la hausse des revenus du capital, c à d. la baisse de la part des salariés, avec à la limite... un "idéal" qui serait le rétablissement de l'esclavage ! (L'externalisation et le statut "d'auto-entrepreneur" font partie des outils conçus dans ce but).

- Les plats cuisinés au... "minerai de boeuf", (ou... de cheval !), qui occupent l'actualité ces jours-ci, ne sont qu'une des conséquences infâmes de la contrainte actionnariale et de la libre circulation des biens et des capitaux: toutes 2 se conjuguent avec la haine du service public, (bannir les contrôles "bureaucratiques"... démolir les services sanitaires ou l'inspection du travail). Au résultat... un plus faible risque de sanctions et la "perversité obligatoire"... facilitent l'introduction de plein de saloperies, (déchets organiques ou produits chimiques), dans... notre alimentation !

- Selon la même logique, il parait que récemment encore... on pouvait trouver sur le marché français du bois de chauffe ukrainien... radio-actif, car... récolté du coté de Tchernobyl !

- le monopole des marchés financiers sur la dette publique, c a d. l'interdiction des prêts directs à 1% de la BCE aux 17 Trésors publics de la zone Euro, (cf. les prêts que Mario Draghi a consenti aux banques à hauteur de 1000 milliards), coute ~200 milliards /an ! Voir par exemple: http://tinyurl.com/UE-stupide

http://tinyurl.com/raz2013
Dimanche 11 Novembre 2012
21:04 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article Les dévots de La pensée mythique
Masquer
Lorsqu'on a vu le film de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat, "Les nouveaux chiens de garde":
http://tinyurl.com/new-watch-dogs , c'est toujours un plaisir de voir mis sur la sellette quelques spécimens de cette espèce qui, hélas, n'est pas en voie de disparition !

On est pris de vertige en songeant aux dégâts que peuvent faire les "Editocrates"... ces grands prêtres de l'EMPM, (Eglise Médiatique de la Pensée Mythique !), lorsqu'ils se trompent, ou... qu'ils nous trompent !

Lorsque, par exemple, ils prennent la défense de petits malins qui, tels D Kessler, veulent la démolition du programme du CNR, c a d organiser la rareté des biens publics, de façon à pouvoir nous vendre ce qui devrait être gratuit, ou peu couteux ! (La monnaie étant le premier des biens publics... et la privatisation du seigneuriage, c a d du pouvoir de création monétaire... étant l'une des causes - la plus insidieuse et la plus révoltante - de la crise actuelle).

Si Pujadas invitait de temps en temps, Jean Gadrey ou Patrick Viveret plutôt que François Lenglet... le sentiment oppressant de non assistance à "Peuples en train de se faire arnaquer"... serait un peu moins prégnant !
R Z
Mercredi 25 Juillet 2012
18:31 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article Qui a dit que l'Espagne s'en sortait mieux que la Grèce ?
Masquer
Mario Draghi a récemment déclaré que la BCE n'a pas de tabou... Il doit pourtant savoir qu'il vaut mieux... éviter de parler de corde dans la maison d'un pendu ! La BCE qu'il dirige, c'est quand même une fabrique de pognon, (électronique pour près de la moitié, le reste en pièces & en billets), qui:
- peut créer sans sourciller ~1000 milliards de prêts à 1 % sur 3 ans à ~ 500 banques en état de faillite (avec le système des réserves fractionnaires, elles le sont toutes, par construction),

- se refuse à créer 500 ou 600 milliards de prêts à l'Espagne, et autres GIPSI, qui sont des états souverains, et ont bien moins de chances de faire faillite que la plupart des bénéficiaires de... "Bazooka-1" ou "Bazooka-2"!
Cela ferait baisser l'Euro, (dont la dégringolade est la seule bonne nouvelle du moment), et rendrait la monnaie inique un peu moins désastreuse pour les peuples de l'UE... mais Attention: T.A.B.O.U !
En effet, le statut de la BCE de 2012 est la copie de... celui de la Bundesbank, c à d celui que les Alliés vainqueurs ont imposé a l'Allemagne d'après 1945, instruits de ce que le réarmement allemand avait pu se faire à leur insu, entre 1933 et 1939, grâce à un mécanisme insidieux de création monétaire inventé par H. Schacht. (le premier ministre des finances d'Hitler).

C'est un peu comme si, après un massacre à coups de marteau... on interdisait l'usage du marteau ! (Quelle aubaine pour les marchands de cloueurs pneumatiques, rôle tenu en l'occurrence par les marchés financiers !)

Sur le stock de dettes de plus de 7000 milliards des 17 pays de la zone Euro, le T.A.B.O.U de l'article 123 du Traité de Lisbonne, (ex 104 de Maastricht), représente un surcoût d'au moins 2 a 3 %, soit 150 a 200 milliards /an , presque 2 fois le budget de l'UE ! Cette zone aveugle du débat public... cette question Dracula comme dit G Filoche (car elles craignent la lumière !), quand réussirons nous à... en débattre sans T.A.B.O.U ?!
Voir aussi [http://www.france-alter.info/Malediction_FA.htm]url:[http://www.france-alter.info/Malediction_FA.htm]
Jeudi 7 Juin 2012
Cet article est volontariste, il insiste à juste titre sur l'option *Recréer une politique industrielle*, et... ne pas hésiter à la financer par des avances, (gratuites ou non), de la Banque de France.
C'est le bon moyen pour cesser de... *verser une redevance sur les investissements publics aux marchés financiers*... et ainsi s'affranchir de leur dictature (sans oublier celle de la Troïka).
En outre, cet usage rebelle et non inflationniste... de la "planche à billets", souvent agitée comme un épouvantail par le... "club des 1% qui ont intérêt, (à plus d'un sens du terme), à nous en interdire l'usage... est bien sympathique !

Malheureusement, faute d'avoir sollicité une relecture par un physicien... son auteur nuit à la cause qu'il prétend promouvoir, par l'effet désastreux de nombreuses lacunes, ou mêmes d'erreurs grossières:

- par exemple, les 71,68 TWc dans la 3ieme col. du tableau, (TWc se lit "TeraWatt crete"): la puissance installée en France est inférieure à 0,1 TW, (soit 100 GW, qui en fonctionnant 1 à plusieurs milliers d'heures /an délivrent les ~500 TWh que nous consommons... aux pertes près, bien entendu !)

- partisan convaincu du PV, je ne crois pas que ce soit une bonne idée d'essayer d'avoir une prod. majoritairement PV... Outre l'énergie grise non prise en compte, (comme le signale une autre réaction), il est clair que la recherche du "bon mix" de production renouvelable (cogénération par la filière bois, Eolien, Biogaz, Energies renouvelables marines, et PV), est primordiale !

Plutôt que d'oublier cet article, comme le propose un autre lecteur... il faut en retenir les propositions:
- de renaissance de la *puissance publique*... (à munir d'un sérieux contrôle citoyen... pour éviter qu'on nous refasse, en plus du TGV, d'Airbus, et d'Ariane, le... "cout du nucléaire" !)
- de financement par une "création monétaire non inflationniste"... (c a d pour financer la réalisation de richesses nouvelles, à partir de capacités de production disponibles ET inemployées).

Pour le reste, et notamment les options techniques... il vaut mieux aller voir ici:
http://www.negawatt.org/scenario-negawatt-2011-p46.html !
Samedi 25 Février 2012
16:29 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article Dossier - MES: une Europe made in Merkozy
Masquer
L'UMP et le PS, les 2 partis qui gouvernent depuis 20 ans, ont en commun de ne pas vouloir/pouvoir reconnaître l'erreur tragique pour « les 99% »... que constitue leur soutien à l'UE de Lisbonne en général, et à la zone Euro en particulier.
Le choix politique de la concurrence plutôt que de la solidarité, effectué dans l'urgence en 1991... résulte du compromis franco-allemand sur la monnaie unique, aux termes duquel le statut de la BCE de 2012 est la copie de... celui de la Bundesbank de 1950 ! (art.104 du T. de Maastricht).
Avec, hélas, une différence funeste : la Buba avait -elle- une boussole, qui était l'intérêt du peuple au nom duquel elle créait des « DM centraux »... (et dont l'activité garantissait la valeur).
La BCE n'a aucune boussole, et... quand elle s'avise d'en chercher une... elle prend souvent la même que... celle de la Buba ! (flanquée de sa Cour Constitutionnelle de Karlsruhe...)
Faute de remettre en cause l'erreur de 1991, les dirigeants de l'UMP et du PS continueront à vivre... volens nolens... la triste vie de pantins craignant de perdre... ce qui reste du « trésor national » : la note AAA !

Surtout... ils nous laisseront sur la même trajectoire de « l'horreur économique » : celle qui a mené les Grecs en enfer !
Au sein de l'UE, les excédents des uns ne peuvent exister qu'à raison des déficits des autres. La monnaie unique sans solidarité est d'abord un non sens et surtout, une... « monnaie inique » !
Plus de détails sur www.france-alter.info://
Samedi 7 Janvier 2012
19:27 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article TVA sociale, le retour
Masquer
La TVA sociale: un exemple de plus de la "politique de l'oxymore"!

Depuis l'inoubliable formule rad-soc: "Demander plus à l'impôt et moins au contribuable", la méthode consistant à nous enfumer avec des désignations incohérentes et trompeuses... est devenue la pratique courante de trop de politiciens ! Traité Constitutionnel, Développement durable, Traité simplifié... Pacte pour l'Euro, et TVA sociale... ces expressions sont constituées avec 2 termes contradictoires, (comme: "cette obscure clarté qui tombe des étoiles"...).
Leur succès chez les plus retors... résulte de la possibilité qu'elles offrent, de dissimuler le véritable but de la proposition ainsi désignée !
La politique de l'oxymore, c'est le degré zéro du débat public, un véritable attentat contre la démocratie ! Si encore cette TVA conçue pour alléger la part dite "patronale" de nos cotisations sociales... servait à mettre en place une mesure redistributive (un revenu d'existence, par exemple), il n'y aurait peut etre pas tromperie !
Au contraire, qualifier de "sociale" une augmentation de l'impôt le plus injuste... qui servira surtout à conforter les profits des grands groupes défendus par L. Parisot... voila un procedé qui montre, (pour peu que l'on sache s'émanciper du "conditionnement du 20 H"...) quels politiciens n'hésitent pas à se comporter comme des joueurs de bonneteau !
Mardi 13 Décembre 2011
"i[...les concepteurs de la monnaie unique – français –ont mis, par inadvertance, [l'Allemagne] dans une position dominante qu’elle ne recherchait pas]i."

E. Todd montre ici comment le drame se noue:
- Lors de la négo de Maastricht, une erreur a été commise par nos représentants...

- L'UMP pourrait le dire... mais ce serait priver ceux qu'elle sert... d'un véritable effet d'aubaine: disposer d'un outil magique pour obtenir le bon degré de résignation et de docilité... face à ses exactions contre les services publics... (dont la préservation est pourtant seule capable de conserver une apparence de réalité à... la devise républicaine au fronton de nos mairies !)

- Le PS pourrait le dire... mais le cout électoral d'un tel aveu serait bien loin du... "Faute avouée, à demi pardonnée"... que l'on sert volontiers aux petits enfants.

Ainsi, dans notre système politique bipolaire, aucun des 2 partis les plus susceptibles de diriger le pays ne fera le chemin nécessaire pour corriger la situation injuste et absurde... qui résulte de Maastricht !
Car... comme le dit aussi fort justement E Todd, au sein de l'UE, il ne peut pas y avoir que des pays excédentaires ! ("i[Les excédents des [H]uns... ne peuvent exister qu'à raison des déficits des autres !]i")

Le piège se referme: pour que la France ait un gouvernement capable de changer Maastricht, il faudrait d'abord changer les institutions qui ont conduit à la monarchie républicaine actuelle: l'élection du Psdt de la République... avec "inversion du calendrier electoral", est devenue un moyen d'accès à tous les palais de la République, même si ~75% des inscrits ne votent pas pour vous ! (cas de NS le 22/04/07).
Nous n'avons plus le choix qu'entre le + démago & le + lisse ! Seuls les petits partis, sur les bords de l'echiquier politique, ont un discours susceptible de mettre en evidence les causes de cette tragedie: dans l'un des 10 pays les plus riches du monde, de plus en plus de gens vivent -et meurent- dans les rues, pendant que nous consacrons plusieurs dizaines de milliards a une depense inutile et improductive: servir une rente aux plus favorises, en UE et hors UE !
Heureusement, une issue existe ! voir: tinyurl.com/A-Grangjean://
Mardi 4 Janvier 2011
14:59 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article L'euro peut-il survivre à la crise ? (3/3)
Masquer

Toujours ce réflexe pavlovien des rentiers, des banquiers, ou des anciens de l'ENA, (comme Hollande ou Juppé...), consistant a agiter le bon vieil épouvantail de la "planche a billets" !

Selon ces braves gens, la création monetaire publique serait toujours source de désastres ("l'in-fla-tion mon bon monsieur" !), tandis que la creation monetaire privatisée au profit des banques commerciales ne le serait jamais !

Comme l'expérience le prouve depuis 2007 2008 ?! Pour info, entre 2000 et 2008, la masse monetaire a progressé de ~80 % (alors que selon les propres normes de la BCE... elle n'aurait du progresser que de 36 %).

Cette façon de nier l'évidence... cet aveuglement face a un outil, la création monétaire, par définition neutre ... (un marteau peut servir à enfoncer un clou ou... à massacrer son prochain), est une chose étonnante !

Lundi 6 Décembre 2010
Certains commentaires montrent combien, meme pour des lecteurs de Marianne, la perception de la situation en Europe peut etre... subjective ! Essayons d'organiser le "retour du réel" !

A propos du... "Modèle allemand fondé uniquement sur les exportations", le lecteur, qui semble apprecier ce modele, sait-il:

- quelle part de l'excédent commercial allemand est realisée dans la zone Euro ?

- que pour qu'un pays soit excédentaire, dans une zone économique donnée, il faut forcément que d'autres, dans la meme zone, soient déficitaires ?

- qu'à partir du moment ou il y a une monnaie unique, (et non pas une monnaie commune... hélas !), la connotation subliminale (qui est manifestement la sienne): "Excedent = Vertu" et "Deficit = Vice" perd le [peu de] sens qu'elle pouvait avoir... puisque les pays déficitaires n'ont plus la possibilité de dévaluer ? (en vue de renchérir leurs importations et de limiter ainsi leur deficit) ?

- que, de la sorte, la seule issue possible devient "l'austerité permanente a cause d'un déficit commercial temporaire" ? (comme l'expérimentent cruellement la Grèce, l'Irlande, bientôt le Portugal... puis NOUS, probablement ?!),

- qu'une monnaie unique sans solidarité entre les états qui la partagent, (articles 123 et 63 du T. de Lisbonne), est à la fois absurde d'un point de vue systémique... et injuste du point de vue de ses conséquences socio-économiques, (notamment en cas de comportements de "passager clandestin" ?)

- que la "malédiction franco-allemande" consistant a pousser les désaccords sous le tapis, (comme savent si bien le faire les diplomates et les politiques qui ont négocié les Traités européens), se traduit par le cauchemar actuel de cette Europe... "Paradis du capitalisme de dérégulation a dominante financière"... c a d "Tombeau de la démocratie" ? (puisque les gouvernements se préoccupent moins de l'opinion des peuples que de celle de... Moody's ou de Standards & Poors),

- que la methode unilatérale consistant a dire: "Je ne souscris aux Traités européens que dans la mesure que ma Cour Constitutionnelle de Karlsruhe estimera compatible avec ma Loi fondamentale" (y compris en juin 2009, près de 20 ans après avoir signé Maastricht !), est tout de meme un sacré tour de passe passe pour... "avoir les droits sans les devoirs"?

- que l'un des négociateurs allemands de Maastricht, futur président de la BUBA, (et actuel VP de la BRI, la "Banque des Banques Centrales"), Hans Tietmeyer, se vante d'avoir "rendu les choses irreversibles" ? Ce financier allemand a inventé la martingale diabolique qui donne plus de poids à l’avis des agences de notation… qu’à celui des peuples ! En exigeant la liberté totale de circulation des capitaux, (art. 63 du T de L.), pas seulment pour les mouvements au sein de l'UE, mais aussi entre l'UE et le reste du monde ! Sur ce triomphe d'une position monétariste dogmatique, relire la déclaration de Michel Rocard à l'U. d'eté 2008 du PS ("Nous n'aurions jamais du céder sur les instruments monétaires..."),

C’est ainsi qu’en 2010, les statuts de la BCE sont a peu près ceux de la Bundesbank: l’interdiction de la monétisation de la dette publique, (c a d. du financement direct de quelques % du budget par la Banque Centrale), et sa financiarisation obligatoire, (avec, pour les 16 pays de la zone Euro, un cout colossal de plus de 200 Milliards /an... bien plus que le budget de l’UE !), furent instituée en RFA, après la 2ième guerre mondiale, au nom du “Plus jamais ça !

La Cour Constitutionnelle de Karlsruhe doit en effet veiller à rendre impossible l’usage qu’avait fait Schacht, (le premier ministre des finances du 3ième Reich), des… “MEFO Bills”, ces bons d’Etat, véritable monnaie parallèle, qui permirent, en moins de 10 ans, de faire d’une économie écrasée par l’inflation et les dommages de guerre du Traité de Versailles… la première puissance militaire en Europe.

Ce choix idéologique, (comparable à l’interdiction de l’usage du marteau après… un massacre à coups de marteau !), est un aspect méconnu de la construction européenne; il nous empêche d’inscrire à la fois en depenses ET en recettes de la loi de Finances, le poids des intérêts de la dette publique: il suffirait de nous verser ces intérêts “à nous memes”… c a d à la Banque de France, (un bien public depuis 1945), au lieu d’en verser environ 1/3 aux Français les plus riches, (tandis que le reste est payé hors de France).

Que dans l’un des 10 pays les plus riches du monde, de plus en plus de gens vivent et meurent dans les rues, compte tenu de l’impérieuse necessité de réduire les prestations sociales et les services publics, est un effet de ce que l’on peut appeler la “malédiction européenne pour les peuples”: quand on a le choix entre plusieurs solutions, la construction européenne, (telle qu’elle se produit depuis l’effondrement du bloc communiste), fait en sorte que l’on choisisse toujours celle qui convient aux 10% les plus riches !

Hans Tietmeyer, grand protecteur des banques & des fonds voyous, a étendu la libre circulation des capitaux entre Etats membres… au monde entier ! De la sorte, les articles 63, 106, 107, & 123 du Traité de Lisbonne ont fait de l’UE un territoire… pas seulement de libre échange, mais surtout de… “libre prédation" !

La destruction du tissu social pèse bien peu, face au dogme de “l’attractivité”… c à d que les gouvernements doivent faire ce qu’il faut pour ne pas déplaire aux agences de notation!

L’exemple de Roosevelt qui, pendant sa présidence, porta a plus de 80% la taxation des plus hauts revenus, devrait nous inspirer une mesure simple et bien propre à assurer la résorption des déficits: une “Secousse 6 Smics”… c a d 80 ou 90 % d’impôt sur la fraction de revenu qui depasse 9000 Euro /mois !

Pour finir, je demanderai volontiers à un autre lecteur, (celui qui ne veut pas ... " payer à perpétuité pour les tricheurs et fainéants."), est-il bien conscient que des tricheurs... il y en a aussi Outre Rhin ?

Enfin... ce n'est pas etre "anti fridolin" que de constater que l'equilibre d'un accord, (garanti par des dispositions synallagmatiques...), n'est pas respecté !.
Mercredi 27 Octobre 2010
16:08 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article Baroin peint en vert la hausse de l'électricité et des PV
Masquer
En complément des commentaires 17, 18 & surtout 19, tous 3 très éclairants... se souvenir des propos de Marcel Boiteux en 2008:
Le tarif regulé, (c a d. du kWh EdF vendu beaucoup moins cher qu'en Italie ou en Allemagne), c'est vraiment la "bête noire" de la Commission Européenne...
Quand aux dirigeants d'EdF... ça ne les dérangent pas trop d'arnaquer un peu plus les "consommateurs contribuables" qui ont déjà payé, en 40 ans, entre 200 et 300 milliards, (en valeur 2010), pour subventionner la filière nucléaire, et ses innombrables coûts cachés (y compris le gardiennage des déchets a haute activité et vie longue pour... "les siècles des siècles"). Plus de détails sur... "La grande ilusion" ici:
www.global-chance.org/spip.php?article45://

Dans ces conditions... tous les prétextes sont bons pour augmenter le tarif régulé !

Si en plus... cela peut contribuer à discréditer les Energies renouvelables... (qui, à plus de 90 % sont étrangères aux véritables motifs de cette hausse), quel pied... pour le lobby nucléaire !

En outre... cette hypocrisie masque le mépris multi-décennal du lobby nucléaire pour toute démarche de maîtrise de la demande !

Il est tragique de voir qu'une proposition aussi simple que celle de Paul Aries: "Gratuité, (ou quasi gratuité), du bon usage, avec renchérissement du mésusage", demeure ignorée !

Au lieu d'une baisse pour les petits consommateurs, sur les 500 ou 1000 premiers kWh /an, (ou, pour l'eau... sur les 15 ou 20 premiers m3 /an), avec une hausse pour les autres, on choisit de dresser les ménages les plus modestes contre les énergies renouvelables ! Affligeant !
Samedi 18 Septembre 2010
11:00 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article Jacques Sapir (3): une autre croissance pour une autre société
Masquer
Sur les accords dits de "Bale 3", et l'exigence de renforcement des fonds propres des banques: Peut-on vraiment etre rassurés au spectacle de ces innombrables rustines, béquilles, et bouts de ficelle... ajoutés à un système intrinsèquement mauvais ?

Le principe des réserves fractionnaires, découvert par les orfèvres du debut du XVIIième siècle, présente un défaut congénital: etre banquier, c'est pouvoir tirer profit de ressources... qu'on ne possède pas !
Outre cet enrichissement sans cause, ("Ungerecht vertigte bereicherung"... dit-on, il me semble, outre Rhin), le privilège de banquier donne un droit de vie et de mort sur les projets des entrepreneurs: ceux qui sont financés ne sont pas forcement ceux qui ont la plus grande utilité sociale... mais plutot, ceux qui remplissent le mieux les critères des Comités de crédit !

Des centaines de décisions se prennent chaque semaine dans des instances ou, hélas, ni l’intérêt général, ni les citoyens, ne sont présents ! Une vraie réforme du secteur bancaire, (conçue autrement que dans le but de continuer à enrichir les plus riches), devrait considérer au minimum les 4 mesures vitales suivantes:

- Introduire une dimension sociétale et démocratique dans les Comités de crédit. (présence, a coté des professionnels du secteur bancaire, de partenaires sociaux et de représentants de la société civile: ONGs et assoces),

- Offrir un second examen, (une seconde chance), aux projets retoqués pour cause de rentabilité jugée insuffisante (alors qu'ils peuvent avoir un grand intérêt -non financier- pour la sociéte),

- Mettre fin au système des réserves fractionnaires, c à d confier à la Banque Centrale, (qui, en France, est un bien public depuis 1945), le privilège de création monétaire et les dizaines de milliards de revenus annuels que ce privilege rapporte aux banques privées. Organiser, encadrer, et répartir ce pouvoir monetaire, selon un cadre démocratique, (avec les Comités de Credit élargis déjà mentionnés), respectant un principe de subsidiarité, entre l'Etat, les régions et les territoires,

- Separer les métiers banques de depots et de banques d'investissement, (ou plutot de "banques d'intermédiation du crédit", dans la mesure où le privilège de création monetaire par des banques privées, aurait entre temps disparu).

Selon le terme de Fréderic Lordon, mettre fin définitivement au risque catastrophique que peut représenter, pour l'économie réelle, la domination d'une finance tentée, de façon récurrente, de "devenir folle"... implique de "Mé-dio-cri-ser" cette activité ! C a d. de faire en sorte que les marges qu'elle peut dégager ne soient plus 5 ou 10 fois supérieures à celles des autres secteurs de l'économie !

Si cet objectif essentiel est incompatible avec le Traité de Lisbonne... Eh bien, il faut "dénoncer"... (d'abord au sens figuré, puis si cela ne suffit pas, au sens propre !), ce Traité qui est rejeté par le "Souverain", c à d par le peuple français.
09:35 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article Des économistes «atterrés» contre le pouvoir de la finance
Masquer
A propos des accords dit Bale 3 et de l'augmentation du ratio de fonds propres des banques: peut-on vraiment etre rassurés au spectacle de ces innombrables rustines, béquilles, et bouts de ficelle... ajoutés à un système intrinsèquement mauvais ?

Le principe des réserves fractionnaires, découvert par les orfèvres du debut du XVIIième siècle, présente un défaut congénital: etre banquier, c'est pouvoir tirer profit de ressources... qu'on ne possède pas !
Outre cet enrichissement sans cause, ("Ungerecht vertigte bereicherung"... dit-on, il me semble, outre Rhin), le privilège de banquier donne un droit de vie et de mort sur les projets des entrepreneurs: ceux qui sont financés ne sont pas forcément ceux qui ont la plus grande utilité sociale... mais plutot, ceux qui remplissent le mieux les critères des Comités de crédit !

Des centaines de décisions se prennent chaque semaine dans des instances ou, hélas, ni l’intérêt général, ni les citoyens, ne sont présents ! Une vraie réforme du secteur bancaire, (conçue autrement que dans le but de continuer à enrichir les plus riches), devrait considérer au minimum les 4 mesures vitales suivantes:

- Introduire une dimension sociétale et démocratique dans les Comités de crédit. (présence, a coté des professionnels du secteur bancaire, de partenaires sociaux et de représentants de la société civile: ONGs et assoces),

- Offrir un second examen, (une seconde chance), aux projets retoqués pour cause de rentabilité jugée insuffisante (alors qu'ils peuvent avoir un grand intérêt -non financier- pour la sociéte),

- Mettre fin au système des réserves fractionnaires, c à d confier à la Banque Centrale, (qui, en France, est un bien public depuis 1945), le privilège de création monétaire et les dizaines de milliards de revenus annuels que ce privilege rapporte aux banques privées. Organiser, encadrer, et répartir ce pouvoir monetaire, selon un cadre démocratique, (avec les Comités de Credit élargis déjà mentionnés), respectant un principe de subsidiarité, entre l'Etat, les régions et les territoires,

- Separer les métiers banques de depots et de banques d'investissement, (ou plutot de "banques d'intermédiation du crédit", dans la mesure où le privilège de création monétaire par des banques privées, aurait entre temps disparu).

Selon le terme de Fréderic Lordon, mettre fin définitivement au risque catastrophique que peut représenter, pour l'économie réelle, la domination d'une finance tentée, de façon récurrente, de "devenir folle"... implique de "Mé-dio-cri-ser" cette activité ! C a d. de faire en sorte que les marges qu'elle peut dégager ne soient plus 5 ou 10 fois supérieures à celles des autres secteurs de l'économie !
Vendredi 10 Septembre 2010
18:51 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article Pour l'UMP, la police invente le «préavis de perquisition»
Masquer
Voila ce qui s'appelle de la... prévenance !

Elle est belle... cette nouvelle gouvernance... douce aux riches et aux pussants, et dures a ceux de... la "France d'en bas" ? BERK !
Vendredi 27 Août 2010
12:26 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article Pour Jean-Michel Aphatie, la grève ne sert à rien...
Masquer
Bon Sang Mais c'est bien sur:

Jean Michel Apathie + les Nouvelles Technologies de l'Information, (NTI)... cela donne:

Jean Michel A-NTI-pathie !
Jeudi 20 Mai 2010
23:42 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article Taxe sur le capital : d'où viennent les 100 milliards d'Artus ?
Masquer
Bonsoir

Même un grand journal comme Marianne devrait s'intéresser aux règles de l'arithmétique:

A= 1056 ; B = 1059 ; C= 840; D = 476. => A+B+C+D = 1930

Étonnant, non ? !
Samedi 8 Mai 2010
21:34 | RAYMOND ZAHARIA a commenté l'article Dupont Aignan : le plan d'aide à la Grèce est un sabordage
Masquer
Voir http://www.france-alter.info/Sacrification_Grecque.htm://

En ce jour anniversaire… 65 ans après la chute du nazisme, il faut peut etre se souvenir de ce que j’appelle la “malédiction européenne”: les statuts de la BCE de 2010 sont ceux de la Bundesbank d’apres 1945… c à d. qu’ils ont été rédigés pour ne plus jamais permettre l’usage qu’avait fait les nazis de l’outil qu’est la création monétaire publique: c’est un peu comme si l’usage du marteau etait interdit apres un assassinat… à coups de marteau !

Inutile de dire que cela ne dérange pas tout le monde… par exemple les marchands de “cloueurs automatiques”… représentés dans ce cas, par les banques et les fonds privés, intermédiaires obligés - et… ravis !- entre la BCE et les Trésors publics !

Cette façon de contraindre l’ensemble des citoyens à verser aux plus riches d’entre eux une redevance sur les investissements publics est injuste et injustifiée.

A ceux qui agiteraient l’épouvantail de l’inflation, (comme ils savent le faire, aussitôt qu’on parle de reconquête du pouvoir régalien de création monétaire, privatisé lors du T. de Maastricht), je demande si ce qui se passe depuis la création de l’Euro, (que la BCE ne contrôle absolument pas), et notamment depuis septembre 2008, n’est pas pire ?

Il existe des alternatives à l’austérité pour les plus pauvres: mettre fin au privilege de profitabilité des banques et des hedges funds, qui, rien qu’en France, coute ~1 milliard par semaine au Trésor Public. Débarrassons-nous de l’Europe de la finance mondialisée et des articles 63, 106,107, et 123 du T. de Lisbonne, qui interdisent, hélas, la solidarité en Europe !

“Le goût de la vérité n’empêche pas de prendre parti” A.Camus
Politique I Economie I International I Société I Culture & Médias I Blogs I Chroniques I Archives
Mentions légales I Signaler un contenu illicite I CGU I Charte des commentaires I Fréquentation certifiée par l'OJD
Service abonnement I Service modération I Webmaster I Rédaction de Marianne.net I Faire un stage I Publicité
Numérique 6 €/mois I Magazine 7,5 €/mois
Facebook Twitter RSS Newsletter